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Auteur Joao BERNARDO
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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesAnticapitalisme: anti....quoi? / Joao BERNARDO
Titre : Anticapitalisme: anti....quoi? Type de document : texte imprimé Auteurs : Joao BERNARDO Editeur : Paris : Ni patrie ni frontières Importance : 72 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-38235-099-7 Prix : 6 euros Langues : Français Langues originales : Bresilien Note de contenu : Comment puis-je me définir aujourd’hui, sans provoquer la perplexité ou la nausée chez ceux avec qui je discute ? Quels mots me restent-ils ? Anticapitalisme: anti....quoi? [texte imprimé] / Joao BERNARDO . - Paris : Ni patrie ni frontières, [s.d.] . - 72 pages.
ISBN : 978-2-38235-099-7 : 6 euros
Langues : Français Langues originales : Bresilien
Note de contenu : Comment puis-je me définir aujourd’hui, sans provoquer la perplexité ou la nausée chez ceux avec qui je discute ? Quels mots me restent-ils ? Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 4061 Livre Théorie Critique Mille Bâbords Document en bon état Disponible L'autre face du racisme / Joao BERNARDO
Titre : L'autre face du racisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Joao BERNARDO Editeur : Paris : Ni patrie ni frontières Importance : 178 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-38235-101-7 Prix : 12 euros Langues : Français Langues originales : Bresilien Catégories : Société Mots-clés : Racisme anti-racisme brésil Résumé : Les idéologies identitaires de gauche reprennent les clichés et techniques des mouvements nationalistes, et constituent « l’autre face du racisme » pour João Bernardo. Cet essai est divisé en cinq parties :
« 1. Le Tolstoï des Zoulous : Le mouvement noir actuel entoure de murs les propriétés universelles de l’humanité.
« 2. Comment le ressentiment s’est substitué à l’histoire : Le ressentiment, qui présuppose une obsession, transforme les fantômes de l’esprit en signes.
« 3. Ce sont les racistes qui ont créé les races : Les racistes noirs d’aujourd’hui ne font qu’inverser les hiérarchies inventées hier par les racistes blancs.
« 4. Le mythe de l’eurocentrisme : Les progrès que la classe ouvrière et la gauche ont réussi à initier et à soutenir sont dénigrés comme étant “eurocentristes” par ceux qui cultivent les identités ?
« 5. Le racisme est-il inhérent au capitalisme ? Nous ne pourrons dépasser le capitalisme que si nous créons une société daltonienne. »
En annexe, nous reproduisons six textes consacrés aux mouvements des « Afrodescendants » au Brésil et qui convergent politiquement avec cet essai de João BernardoL'autre face du racisme [texte imprimé] / Joao BERNARDO . - Paris : Ni patrie ni frontières, [s.d.] . - 178 pages.
ISBN : 978-2-38235-101-7 : 12 euros
Langues : Français Langues originales : Bresilien
Catégories : Société Mots-clés : Racisme anti-racisme brésil Résumé : Les idéologies identitaires de gauche reprennent les clichés et techniques des mouvements nationalistes, et constituent « l’autre face du racisme » pour João Bernardo. Cet essai est divisé en cinq parties :
« 1. Le Tolstoï des Zoulous : Le mouvement noir actuel entoure de murs les propriétés universelles de l’humanité.
« 2. Comment le ressentiment s’est substitué à l’histoire : Le ressentiment, qui présuppose une obsession, transforme les fantômes de l’esprit en signes.
« 3. Ce sont les racistes qui ont créé les races : Les racistes noirs d’aujourd’hui ne font qu’inverser les hiérarchies inventées hier par les racistes blancs.
« 4. Le mythe de l’eurocentrisme : Les progrès que la classe ouvrière et la gauche ont réussi à initier et à soutenir sont dénigrés comme étant “eurocentristes” par ceux qui cultivent les identités ?
« 5. Le racisme est-il inhérent au capitalisme ? Nous ne pourrons dépasser le capitalisme que si nous créons une société daltonienne. »
En annexe, nous reproduisons six textes consacrés aux mouvements des « Afrodescendants » au Brésil et qui convergent politiquement avec cet essai de João BernardoRéservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 4060 Livre Théorie Critique Mille Bâbords Document en bon état Disponible Ils ne savaient pas qu'ils étaient fascistes / Joao BERNARDO
Titre : Ils ne savaient pas qu'ils étaient fascistes Type de document : texte imprimé Auteurs : Joao BERNARDO Editeur : Paris : Ni patrie ni frontières Importance : 85 pages ISBN/ISSN/EAN : 97823823510000 Note générale : Les termes gentillets de « confusion » et de « confusionnisme » sont de plus en plus utilisés par la gauche et l’extrême gauche, voire certains anarchistes. Tous ont décidément la mémoire courte... ou ignorent l’histoire du mouvement ouvrier dont ils se réclament, préférant se raccrocher aux idéologies postmodernes et identitaires, si prisées dans les milieux universitaires, les institutions internationales de la bourgeoisie et chez les patrons et gestionnaires des multinationales.
Dans cet essai, João Bernardo remonte aux origines de cette prétendue « confusion », au moment où, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, convergent certains thèmes fondamentaux de l’extrême gauche et de l’extrême droite, qui nourriront des publications et des groupes socialistes, syndicalistes révolutionnaires, monarchistes, puis fascistes, de Hugues Lagardelle à Mussolini.
Pour ne donner qu’un exemple actuel, comment expliquer qu’Alain Soral, qui revendique l’étiquette « national socialiste », réédite et fasse la promotion des écrits de Georges Sorel, en expliquant que ce dernier fut un partisan du « syndicalisme révolutionnaire » et « l’introducteur du marxisme en France » ? Un tel rapprochement calculé ne pose-t-il pas des questions sur les idéologies dites « révolutionnaires », questions qui vont bien au-delà d’une simple « confusion », de convergences involontaires ?Langues : Français Langues originales : Bresilien Catégories : Sciences humaines Mots-clés : Fascisme Brésil Ils ne savaient pas qu'ils étaient fascistes [texte imprimé] / Joao BERNARDO . - Paris : Ni patrie ni frontières, [s.d.] . - 85 pages.
ISSN : 97823823510000
Les termes gentillets de « confusion » et de « confusionnisme » sont de plus en plus utilisés par la gauche et l’extrême gauche, voire certains anarchistes. Tous ont décidément la mémoire courte... ou ignorent l’histoire du mouvement ouvrier dont ils se réclament, préférant se raccrocher aux idéologies postmodernes et identitaires, si prisées dans les milieux universitaires, les institutions internationales de la bourgeoisie et chez les patrons et gestionnaires des multinationales.
Dans cet essai, João Bernardo remonte aux origines de cette prétendue « confusion », au moment où, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, convergent certains thèmes fondamentaux de l’extrême gauche et de l’extrême droite, qui nourriront des publications et des groupes socialistes, syndicalistes révolutionnaires, monarchistes, puis fascistes, de Hugues Lagardelle à Mussolini.
Pour ne donner qu’un exemple actuel, comment expliquer qu’Alain Soral, qui revendique l’étiquette « national socialiste », réédite et fasse la promotion des écrits de Georges Sorel, en expliquant que ce dernier fut un partisan du « syndicalisme révolutionnaire » et « l’introducteur du marxisme en France » ? Un tel rapprochement calculé ne pose-t-il pas des questions sur les idéologies dites « révolutionnaires », questions qui vont bien au-delà d’une simple « confusion », de convergences involontaires ?
Langues : Français Langues originales : Bresilien
Catégories : Sciences humaines Mots-clés : Fascisme Brésil Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 4062 Livre Théorie Critique Mille Bâbords Document en bon état Disponible