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Éditeur Arte France
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Titre : Notre poison quotidien Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Marie-Monique Robin Editeur : Arte France Année de publication : 2011 Autre Editeur : INA france Importance : 113min Résumé : Comment les produits chimiques qui contaminent notre chaîne alimentaire sont-ils testés, évalués, puis réglementés ?
Notre Poison Quotidien est une grande enquête de Marie-Monique Robin (Le monde selon Monsanto) qui démontre de manière iplacable comment l'industrie chimique empoisonne nos assiettes.Note de contenu : Au cours des 30 dernières années, le cancer, les maladies neurologiques (Parkinson et Alzheimer) ou auto-immunes, le diabète et les dysfonctionnements de la reproduction n’ont cessé de progresser. Comment expliquer cette inquiétante épidémie, qui frappe particulièrement les pays dits « développés » ? C’est à cette question que répond Notre poison quotidien, fruit d’une enquête de deux ans en Amérique du Nord, en Asie et en Europe.
S’appuyant sur de nombreuses études scientifiques, mais aussi sur les témoignages de représentants des agences de règlementation – comme la Food and Drug Administration (FDA) américaine ou l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) –, le film montre que la cause principale de l’épidémie est d’origine environnementale : elle est due aux quelques 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement, et principalement notre alimentation, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Cette grande enquête retrace le mode de production, de conditionnement et de consommation des aliments, depuis le champ du paysan (pesticides) jusqu’à notre assiette (additifs et plastiques alimentaires). Elle décortique le système d’évaluation et d’homologation des produits chimiques, à travers les exemples des pesticides, de l’aspartame et du Bisphénol A (BPA), et montre qu’il est totalement défaillant et inadapté. Elle raconte les pressions et les manipulations de l’industrie chimique pour maintenir sur le marché des produits hautement toxiques. Enfin et surtout, elle explore les pistes permettant de se protéger en soutenant ses mécanismes immunitaires par la nourriture, ainsi que le démontrent de nombreuses études scientifiques (décriées par l’industrie pharmaceutique).En ligne : http://www.arte.tv/fr/_C2_AB-Notre-poison-quotidien-_C2_BB-Une-enquete-de-Marie- [...] Notre poison quotidien [document projeté ou vidéo] / Marie-Monique Robin . - [S.l.] : Arte France : [S.l.] : INA france, 2011 . - 113min.
Résumé : Comment les produits chimiques qui contaminent notre chaîne alimentaire sont-ils testés, évalués, puis réglementés ?
Notre Poison Quotidien est une grande enquête de Marie-Monique Robin (Le monde selon Monsanto) qui démontre de manière iplacable comment l'industrie chimique empoisonne nos assiettes.Note de contenu : Au cours des 30 dernières années, le cancer, les maladies neurologiques (Parkinson et Alzheimer) ou auto-immunes, le diabète et les dysfonctionnements de la reproduction n’ont cessé de progresser. Comment expliquer cette inquiétante épidémie, qui frappe particulièrement les pays dits « développés » ? C’est à cette question que répond Notre poison quotidien, fruit d’une enquête de deux ans en Amérique du Nord, en Asie et en Europe.
S’appuyant sur de nombreuses études scientifiques, mais aussi sur les témoignages de représentants des agences de règlementation – comme la Food and Drug Administration (FDA) américaine ou l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) –, le film montre que la cause principale de l’épidémie est d’origine environnementale : elle est due aux quelques 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement, et principalement notre alimentation, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Cette grande enquête retrace le mode de production, de conditionnement et de consommation des aliments, depuis le champ du paysan (pesticides) jusqu’à notre assiette (additifs et plastiques alimentaires). Elle décortique le système d’évaluation et d’homologation des produits chimiques, à travers les exemples des pesticides, de l’aspartame et du Bisphénol A (BPA), et montre qu’il est totalement défaillant et inadapté. Elle raconte les pressions et les manipulations de l’industrie chimique pour maintenir sur le marché des produits hautement toxiques. Enfin et surtout, elle explore les pistes permettant de se protéger en soutenant ses mécanismes immunitaires par la nourriture, ainsi que le démontrent de nombreuses études scientifiques (décriées par l’industrie pharmaceutique).En ligne : http://www.arte.tv/fr/_C2_AB-Notre-poison-quotidien-_C2_BB-Une-enquete-de-Marie- [...] Exemplaires
Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
http://www.youtube.com/watch?v=Gpp7b0oCjI4URL Les Biens mal acquis / Benoît Bertrand-Cadi
Titre : Les Biens mal acquis Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Benoît Bertrand-Cadi Editeur : Arte France Année de publication : 2010 Autre Editeur : Capa Importance : 52min Résumé : Retour sur la Françafrique, à travers l’affaire des “biens
mal acquis” : la plainte pour corruption déposée contre les
présidents Bongo, Obiang et Sassou Nguesso.
Note de contenu : En mai 2007, des ONG (Sherpa, Survie, relayées ensuite par Transparency international) et la Fédération des Congolais de la diaspora portent plainte contre trois chefs d’État africains en exercice, grands amis de la France : Omar Bongo, le président gabonais qui mourra en 2009, après quarante-deux années de pouvoir ininterrompu ; Denis Sassou Nguesso, le président congolais, revenu aux affaires en 1997, après une brève et sanglante guerre civile ; et Téodoro Obiang, qui dirige la Guinée équatoriale depuis 1979. Les plaignants ont recensé le patrimoine connu sur le sol français des intéressés, de l’immobilier aux voitures de luxe, soulignant que leurs émoluments officiels ne leur permettaient en aucun cas d’amasser les millions d’euros en jeu. De fait, dans ces trois pays gorgés d’or noir, la rente pétrolière ne semble profiter qu’à la minuscule élite qui accapare le pouvoir – comme au Congo, où 70% de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté.
L’affaire des “biens mal acquis” s’est conclue (provisoirement) à l’automne 2009 par le rejet qu’a opposé la Chambre d’instruction de la cour d’appel à la plainte. On attend aujourd’hui la réponse de la cour de cassation. Mais elle guide l’enquête de Benoît Bertrand-Cadi sur les permanences de la “Françafrique” – malgré la volonté proclamée par Nicolas Sarkozy d’en finir avec les pratiques instaurées aux indépendances par Jacques Foccart, le “Monsieur Afrique” du général de Gaulle. Une
enquête fouillée, qui donne tour à tour la parole aux représentants des ONG, à l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine, à l’ex-PDG d’Elf Loïk Le Floch-Prigent (condamné par deux fois par la justice pour les “affaires” de son ancienne société) ou au président Sassou Nguesso lui-même.Les Biens mal acquis [document projeté ou vidéo] / Benoît Bertrand-Cadi . - [S.l.] : Arte France : [S.l.] : Capa, 2010 . - 52min.
Résumé : Retour sur la Françafrique, à travers l’affaire des “biens
mal acquis” : la plainte pour corruption déposée contre les
présidents Bongo, Obiang et Sassou Nguesso.
Note de contenu : En mai 2007, des ONG (Sherpa, Survie, relayées ensuite par Transparency international) et la Fédération des Congolais de la diaspora portent plainte contre trois chefs d’État africains en exercice, grands amis de la France : Omar Bongo, le président gabonais qui mourra en 2009, après quarante-deux années de pouvoir ininterrompu ; Denis Sassou Nguesso, le président congolais, revenu aux affaires en 1997, après une brève et sanglante guerre civile ; et Téodoro Obiang, qui dirige la Guinée équatoriale depuis 1979. Les plaignants ont recensé le patrimoine connu sur le sol français des intéressés, de l’immobilier aux voitures de luxe, soulignant que leurs émoluments officiels ne leur permettaient en aucun cas d’amasser les millions d’euros en jeu. De fait, dans ces trois pays gorgés d’or noir, la rente pétrolière ne semble profiter qu’à la minuscule élite qui accapare le pouvoir – comme au Congo, où 70% de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté.
L’affaire des “biens mal acquis” s’est conclue (provisoirement) à l’automne 2009 par le rejet qu’a opposé la Chambre d’instruction de la cour d’appel à la plainte. On attend aujourd’hui la réponse de la cour de cassation. Mais elle guide l’enquête de Benoît Bertrand-Cadi sur les permanences de la “Françafrique” – malgré la volonté proclamée par Nicolas Sarkozy d’en finir avec les pratiques instaurées aux indépendances par Jacques Foccart, le “Monsieur Afrique” du général de Gaulle. Une
enquête fouillée, qui donne tour à tour la parole aux représentants des ONG, à l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine, à l’ex-PDG d’Elf Loïk Le Floch-Prigent (condamné par deux fois par la justice pour les “affaires” de son ancienne société) ou au président Sassou Nguesso lui-même.Exemplaires
Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité aucun exemplaire Le salaire de la Dette / Jean-Pierre Carlon
Titre : Le salaire de la Dette Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Pierre Carlon Editeur : Arte France Année de publication : 2010 Autre Editeur : Les Productions du Lagon Importance : 52min Résumé : Comment les prêts consentis par la Banque mondiale et le FMI, censés favoriser le développement, ont entretenu la dépendance, la corruption et la pauvreté dans nombre de pays africains.
Note de contenu : Comment se fait-il que l’un des plus grands barrages du monde, celui d’Inga en République démocratique du Congo, n’apporte quasi aucune ressource aux populations locales ? Pourquoi des pays qui ont des richesses naturelles aussi importantes que la RDC, la République du Congo et le Mali demeurent-ils les plus pauvres de la planète ? Pourquoi une part importante de leur budget reste-t-elle consacrée au service de la dette ? La Banque mondiale et le Fonds monétaire international, créés en 1944 par les accords de Bretton-Woods, ont accordé depuis les années 1960 plus de deux mille milliards de dollars au titre de l’aide au développement. Pourtant, force est de constater qu’aujourd’hui tous ces efforts n’ont pas permis aux nations alliées de tenir leurs promesses. Dans les années 80, pris au piège de la dette, les gouvernements du tiers-monde se sont vus obligés de rembourser leurs emprunts avec des taux d’intérêts cinq à six fois supérieurs à ceux pratiqués sur les marchés financiers. Les plans d’ajustements structurels imposés par le FMI ont entraîné privatisation des services publics et exportation massive des ressources, avec des conséquences désastreuses pour le développement de ces états... Et, dans leur sillage, l’installation durable de la corruption et le jeu subtil des réseaux. À partir d’un état des lieux lucide, et grâce à l’analyse d’experts renommés, d’hommes politiques, de responsables des grandes institutions internationales, mais aussi de militants, d’hommes et de femmes sur le terrain, Le salaire de la dette explore les raisons de ces échecs et décrypte les mécanismes en jeu. Le salaire de la Dette [document projeté ou vidéo] / Jean-Pierre Carlon . - [S.l.] : Arte France : [S.l.] : Les Productions du Lagon, 2010 . - 52min.
Résumé : Comment les prêts consentis par la Banque mondiale et le FMI, censés favoriser le développement, ont entretenu la dépendance, la corruption et la pauvreté dans nombre de pays africains.
Note de contenu : Comment se fait-il que l’un des plus grands barrages du monde, celui d’Inga en République démocratique du Congo, n’apporte quasi aucune ressource aux populations locales ? Pourquoi des pays qui ont des richesses naturelles aussi importantes que la RDC, la République du Congo et le Mali demeurent-ils les plus pauvres de la planète ? Pourquoi une part importante de leur budget reste-t-elle consacrée au service de la dette ? La Banque mondiale et le Fonds monétaire international, créés en 1944 par les accords de Bretton-Woods, ont accordé depuis les années 1960 plus de deux mille milliards de dollars au titre de l’aide au développement. Pourtant, force est de constater qu’aujourd’hui tous ces efforts n’ont pas permis aux nations alliées de tenir leurs promesses. Dans les années 80, pris au piège de la dette, les gouvernements du tiers-monde se sont vus obligés de rembourser leurs emprunts avec des taux d’intérêts cinq à six fois supérieurs à ceux pratiqués sur les marchés financiers. Les plans d’ajustements structurels imposés par le FMI ont entraîné privatisation des services publics et exportation massive des ressources, avec des conséquences désastreuses pour le développement de ces états... Et, dans leur sillage, l’installation durable de la corruption et le jeu subtil des réseaux. À partir d’un état des lieux lucide, et grâce à l’analyse d’experts renommés, d’hommes politiques, de responsables des grandes institutions internationales, mais aussi de militants, d’hommes et de femmes sur le terrain, Le salaire de la dette explore les raisons de ces échecs et décrypte les mécanismes en jeu. Exemplaires
Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité aucun exemplaire