Titre : | Le dossier Robert Ménard : pourquoi Reporters sans frontières (RSF) s'acharne sur Cuba | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Guy Allard, Auteur | Editeur : | Outremont, Québec : Lanctôt éd. | Année de publication : | cop. 2004 | Importance : | 1 vol. (118 p) | Présentation : | ill. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-89485-306-1 | Résumé : | Au cours des ans, Robert Ménard, le secrétaire général de Reporters sans frontières, est arrivé à s'ériger en référence universelle. Son but déclaré : la défense de la liberté de la presse. Noble but... auquel personne ne peut refuser de souscrire ! Pourtant, lorsqu'il s'agit de Cuba, tout dans son profil fait de lui un agent de la CIA, soutient Jean-Guy Allard, journaliste québécois vivant à La Havane. Au cours d'une entrevue qu'il lui accordait récemment, l'ex-agent des services de renseignements cubains Nestor Baguer lui racontait sa rencontre du 20 septembre 1998 avec Ménard, alors qu'il occupait le poste de président de l'Association des journalistes cubains " indépendants ". Dans son témoignage, Baguer explique comment le comportement de Ménard est calqué sur celui des agents de services secrets. A Miami, l'associée de Ménard, Nancy Pérez Crespo, a développé un véritable réseau d'agences d'information cubaines dont la prétendue " indépendance " est garantie par les subventions millionnaires de l'United States Agency for International Development (USAID) et de la National Endowment for Democracy (NED), organismes obéissant aux orientations de la Central Intelligence Agency (CIA). Le groupe de Nancy Crespo est ouvertement lié à un réseau d'individus qui, tous, ont participé activement aux campagnes en faveur du terroriste international Luis Posada Carriles et pour la libération d'Orlando Bosch, le terroriste le plus dangereux du continent, selon le FBI lui-même. Ce même réseau a aussi combattu férocement le retour du petit Elian à Cuba... et a livré la Maison Blanche à G. W. Bush, en trafiquant les élections en Floride du Sud. En quelques chapitres, l'auteur retrace aussi l'histoire des relations suspectes de Ménard avec les grandes fortunes du monde français des médias qui ont fait de lui un intouchable dans toute la presse de France |
Le dossier Robert Ménard : pourquoi Reporters sans frontières (RSF) s'acharne sur Cuba [texte imprimé] / Jean-Guy Allard, Auteur . - Outremont, Québec : Lanctôt éd., cop. 2004 . - 1 vol. (118 p) : ill. ; 23 cm. ISBN : 978-2-89485-306-1 Résumé : | Au cours des ans, Robert Ménard, le secrétaire général de Reporters sans frontières, est arrivé à s'ériger en référence universelle. Son but déclaré : la défense de la liberté de la presse. Noble but... auquel personne ne peut refuser de souscrire ! Pourtant, lorsqu'il s'agit de Cuba, tout dans son profil fait de lui un agent de la CIA, soutient Jean-Guy Allard, journaliste québécois vivant à La Havane. Au cours d'une entrevue qu'il lui accordait récemment, l'ex-agent des services de renseignements cubains Nestor Baguer lui racontait sa rencontre du 20 septembre 1998 avec Ménard, alors qu'il occupait le poste de président de l'Association des journalistes cubains " indépendants ". Dans son témoignage, Baguer explique comment le comportement de Ménard est calqué sur celui des agents de services secrets. A Miami, l'associée de Ménard, Nancy Pérez Crespo, a développé un véritable réseau d'agences d'information cubaines dont la prétendue " indépendance " est garantie par les subventions millionnaires de l'United States Agency for International Development (USAID) et de la National Endowment for Democracy (NED), organismes obéissant aux orientations de la Central Intelligence Agency (CIA). Le groupe de Nancy Crespo est ouvertement lié à un réseau d'individus qui, tous, ont participé activement aux campagnes en faveur du terroriste international Luis Posada Carriles et pour la libération d'Orlando Bosch, le terroriste le plus dangereux du continent, selon le FBI lui-même. Ce même réseau a aussi combattu férocement le retour du petit Elian à Cuba... et a livré la Maison Blanche à G. W. Bush, en trafiquant les élections en Floride du Sud. En quelques chapitres, l'auteur retrace aussi l'histoire des relations suspectes de Ménard avec les grandes fortunes du monde français des médias qui ont fait de lui un intouchable dans toute la presse de France |
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