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Détail d'une collection
Collection Fil noir de l'histoire
- Editeur : Mutines Séditions
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la collection



Nous fûmes les rebelles, nous fûmes les brigands... / Belgrado Pedrini
Titre : Nous fûmes les rebelles, nous fûmes les brigands... : Autobiographie d'un partisan anarchiste de Carrare Type de document : texte imprimé Auteurs : Belgrado Pedrini Editeur : Paris : Mutines Séditions Année de publication : 2011 Collection : Fil noir de l'histoire num. 1 Importance : 1 vol. (143 p.) Note générale : No copyright, aucun droit, aucun devoir. Résumé : Pedrini n'a été « partisan » que parce que le régime se nommait « fasciste » ; c'est l'Etat et le pouvoir en soi qu'il combattait. Il n'a été « mutiné » que parce que les murs qui le retenaient se nommaient « prison » ; ce sont toutes les structures qui emprisonnent la liberté au nom de la justice ou de la raison (comme les asiles, contre lesquels il a écrit plusieurs textes) qu'il combattait. Il n'a été « expropriateur » d'industriels fascistes que parce l'argent dont il avait besoin pour lutter était concentré là ; c'est le système capitalisme, même dévêtu de sa chemise noire, qu'il combattait. Nous fûmes les rebelles, nous fûmes les brigands... : Autobiographie d'un partisan anarchiste de Carrare [texte imprimé] / Belgrado Pedrini . - Paris (19 rue Burnouf, http://mutineseditions.free.fr, 75019) : Mutines Séditions, 2011 . - 1 vol. (143 p.). - (Fil noir de l'histoire; 1) .
No copyright, aucun droit, aucun devoir.
Résumé : Pedrini n'a été « partisan » que parce que le régime se nommait « fasciste » ; c'est l'Etat et le pouvoir en soi qu'il combattait. Il n'a été « mutiné » que parce que les murs qui le retenaient se nommaient « prison » ; ce sont toutes les structures qui emprisonnent la liberté au nom de la justice ou de la raison (comme les asiles, contre lesquels il a écrit plusieurs textes) qu'il combattait. Il n'a été « expropriateur » d'industriels fascistes que parce l'argent dont il avait besoin pour lutter était concentré là ; c'est le système capitalisme, même dévêtu de sa chemise noire, qu'il combattait. Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 3057 Livre Histoire Mille Bâbords Document en bon état Disponible Vivre vite de l'autre côté du mur
Titre : Vivre vite de l'autre côté du mur : Punks et anarchistes en ex-Allemagne de l'Est Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Mutines Séditions Année de publication : 2012 Collection : Fil noir de l'histoire num. 2 Importance : 1 vol. (110 p.) Note générale : No copyright, aucun droit, aucun devoir. Résumé : La plupart de ces récits de compagnons de Leipzig nous montrent que les « dissidents » d’Allemagne de l’Est des années 70/80 ne se battaient pas tous pour les libertés formelles ou le paradis de la consommation de l’Ouest. Mais pour une liberté qu’aucun Etat ne saurait satisfaire, pour des désirs qu’aucune économie ne viendra combler. Dans un cadre qui pouvait sembler absolu, ils nous montrent que l’oppression tient bien moins sur la force militaire que sur la soumission de tous et toutes. Ces jeunes anarchistes et punks qui squattaient, volaient, se battaient avec les flics lors de fêtes, organisaient des manifs sauvages, diffusaient des messages subversifs dans les rues, n’étaient finalement asociaux que parce que le reste de la société n’était que trop social, en phase avec le contrôle institutionnel et la délation de proximité.
Vivre vite de l'autre côté du mur : Punks et anarchistes en ex-Allemagne de l'Est [texte imprimé] . - Paris (19 rue Burnouf, http://mutineseditions.free.fr, 75019) : Mutines Séditions, 2012 . - 1 vol. (110 p.). - (Fil noir de l'histoire; 2) .
No copyright, aucun droit, aucun devoir.
Résumé : La plupart de ces récits de compagnons de Leipzig nous montrent que les « dissidents » d’Allemagne de l’Est des années 70/80 ne se battaient pas tous pour les libertés formelles ou le paradis de la consommation de l’Ouest. Mais pour une liberté qu’aucun Etat ne saurait satisfaire, pour des désirs qu’aucune économie ne viendra combler. Dans un cadre qui pouvait sembler absolu, ils nous montrent que l’oppression tient bien moins sur la force militaire que sur la soumission de tous et toutes. Ces jeunes anarchistes et punks qui squattaient, volaient, se battaient avec les flics lors de fêtes, organisaient des manifs sauvages, diffusaient des messages subversifs dans les rues, n’étaient finalement asociaux que parce que le reste de la société n’était que trop social, en phase avec le contrôle institutionnel et la délation de proximité.
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 3056 Livre Histoire Mille Bâbords Document en bon état Disponible