Titre : | Oeuvres III | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Panäit Istrati (1884-1935), Auteur | Editeur : | Paris : Phébus | Année de publication : | impr. 2006 | Collection : | Libretto, ISSN 1285-6002 num. 221 | Importance : | 1 vol. (730 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7529-0167-5 | Prix : | 14,50 EUR | Résumé : | Les oeuvres réunies dans ce dernier volume sont toutes de l'ultime saison (1926-1931) : quatre romans, une confession autobiographique, un ensemble de textes divers... dont " Pour avoir aimé la terre "(1929-1930) : une sorte de manifeste où l'écrivain trempe sa plume dans le sang de la révolte pour dire son dégoût des idéologies et son aspiration à une liberté " sauvage " et " Vers l'autre flamme - Après seize mois dans l'URSS " (1929) : Premier d'une série de " retours " désillusionnés (cf. Céline, Gide et quelques autres), et une condamnation sans appel de la dictature stalinienne et du communisme totalitaire en son entier - Istrati se révélant dans ces pages sous le seul jour qu'il eût jamais revendiqué : celui de l'insoumission, de la non-adhésion tous azimuts. Les " camarades " d'hier le lui feront cher payer. Ses livres sont dégommés par toute la critique de gauche (à l'exception de quelques feuilles anarchistes) ; même Romain Rolland, qui ne veut pas désespérer le prolétariat, se fâche. Écoeuré, Istrati s'en retourne mourir en Roumanie - où la tuberculose a raison de lui en quelques saisons. |
Oeuvres III [texte imprimé] / Panäit Istrati (1884-1935), Auteur . - Paris : Phébus, impr. 2006 . - 1 vol. (730 p.) : couv. ill. ; 19 cm. - ( Libretto, ISSN 1285-6002; 221) . ISBN : 978-2-7529-0167-5 : 14,50 EUR Résumé : | Les oeuvres réunies dans ce dernier volume sont toutes de l'ultime saison (1926-1931) : quatre romans, une confession autobiographique, un ensemble de textes divers... dont " Pour avoir aimé la terre "(1929-1930) : une sorte de manifeste où l'écrivain trempe sa plume dans le sang de la révolte pour dire son dégoût des idéologies et son aspiration à une liberté " sauvage " et " Vers l'autre flamme - Après seize mois dans l'URSS " (1929) : Premier d'une série de " retours " désillusionnés (cf. Céline, Gide et quelques autres), et une condamnation sans appel de la dictature stalinienne et du communisme totalitaire en son entier - Istrati se révélant dans ces pages sous le seul jour qu'il eût jamais revendiqué : celui de l'insoumission, de la non-adhésion tous azimuts. Les " camarades " d'hier le lui feront cher payer. Ses livres sont dégommés par toute la critique de gauche (à l'exception de quelques feuilles anarchistes) ; même Romain Rolland, qui ne veut pas désespérer le prolétariat, se fâche. Écoeuré, Istrati s'en retourne mourir en Roumanie - où la tuberculose a raison de lui en quelques saisons. |
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