Titre : | Cours moins vite, camarade, le vieux monde est devant toi ! : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Ramon Mercader (1954-2009), Auteur | Editeur : | Paris : Fleuve Noir | Année de publication : | 1984 | Importance : | 259 p. | Présentation : | couv. ill. | Format : | 24 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-265-02759-6 | Prix : | 63 F | Langues : | Français | Index. décimale : | 83 | Note de contenu : | Stéphane ne s'est jamais remis des joyeuses cavalcades du mois de mai, à travers les ruelles du Quartier Latin. Dix ans après, il est encore tout essouflé.
Anna, elle, n'a pas voulu s'élancer : à Budapest, le résultat de la course est truqué d'avance.
Quant à Mathias, il préfère avancer d'un pas lent. Il a deviné ce qu'on trouve au bout du chemin. Il fait donc courir les autres...
Les autres ? Ils ne savent même pas qu'il existe une route ! Ni le Baron, qui, à force de jouer la mauvaise carte, a perdu un doigt. Ni Davier, l'ex-barbouze qui croyait pourtant marcher au pas. Et Lise encore moins, qui voulait faire une promenade en sens inverse. Ariane, n'en parlons pas : malgré son fil, elle s'est égarée dans une voie sans issue.
Ils trottinent tous à leur propre rythme, mais le bruit de leurs pas, peu à peu, se perd dans le grondement des bottes qui, au loin, martèlent la chaussée... |
Cours moins vite, camarade, le vieux monde est devant toi ! : roman [texte imprimé] / Ramon Mercader (1954-2009), Auteur . - Paris : Fleuve Noir, 1984 . - 259 p. : couv. ill. ; 24 cm. ISBN : 2-265-02759-6 : 63 F Langues : Français Index. décimale : | 83 | Note de contenu : | Stéphane ne s'est jamais remis des joyeuses cavalcades du mois de mai, à travers les ruelles du Quartier Latin. Dix ans après, il est encore tout essouflé.
Anna, elle, n'a pas voulu s'élancer : à Budapest, le résultat de la course est truqué d'avance.
Quant à Mathias, il préfère avancer d'un pas lent. Il a deviné ce qu'on trouve au bout du chemin. Il fait donc courir les autres...
Les autres ? Ils ne savent même pas qu'il existe une route ! Ni le Baron, qui, à force de jouer la mauvaise carte, a perdu un doigt. Ni Davier, l'ex-barbouze qui croyait pourtant marcher au pas. Et Lise encore moins, qui voulait faire une promenade en sens inverse. Ariane, n'en parlons pas : malgré son fil, elle s'est égarée dans une voie sans issue.
Ils trottinent tous à leur propre rythme, mais le bruit de leurs pas, peu à peu, se perd dans le grondement des bottes qui, au loin, martèlent la chaussée... |
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