Titre : | Un jour dans ma vie : écrits de prison | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bobby Sands (1954-1981), Auteur | Editeur : | Baiona [i.e. Bayonne] : Gatuzain | Année de publication : | 2003 | Importance : | 215 p. | Présentation : | ill., couv. ill. en coul. | Format : | 22 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-913842-25-0 | Résumé : | En 1981, Bobby Sands, volontaire de l’Armée républicaine irlandaise (IRA) et neuf de ses camarades meurent au terme d’une grève de la faim menée pour exiger le statut de prisonniers politiques. Sorti clandestinement des « H blocks », la prison de Belfast, son témoignage décrit les conditions de vie de ces détenus pendant quatre ans, des « hommes-couvertures » qui vécurent nus ils refusaient de porter l’uniforme de prisonnier. Tabassés par les gardiens, emmurés et isolés dans des cellules glaciales, grouillantes d’asticots, aux fenêtres obstruées, aux murs couverts de leurs propres excréments on leur avait interdit l’accès aux toilettes. Dans cet enfer, se procurer une cigarette devient une victoire du genre humain. Ces hommes auraient pu céder, renoncer pour le « confort » dont bénéficiaient les détenus de droit commun et accepter la criminalisation de leur lutte. Ils préférèrent mourir de faim... |
Un jour dans ma vie : écrits de prison [texte imprimé] / Bobby Sands (1954-1981), Auteur . - Baiona [i.e. Bayonne] : Gatuzain, 2003 . - 215 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-913842-25-0 Résumé : | En 1981, Bobby Sands, volontaire de l’Armée républicaine irlandaise (IRA) et neuf de ses camarades meurent au terme d’une grève de la faim menée pour exiger le statut de prisonniers politiques. Sorti clandestinement des « H blocks », la prison de Belfast, son témoignage décrit les conditions de vie de ces détenus pendant quatre ans, des « hommes-couvertures » qui vécurent nus ils refusaient de porter l’uniforme de prisonnier. Tabassés par les gardiens, emmurés et isolés dans des cellules glaciales, grouillantes d’asticots, aux fenêtres obstruées, aux murs couverts de leurs propres excréments on leur avait interdit l’accès aux toilettes. Dans cet enfer, se procurer une cigarette devient une victoire du genre humain. Ces hommes auraient pu céder, renoncer pour le « confort » dont bénéficiaient les détenus de droit commun et accepter la criminalisation de leur lutte. Ils préférèrent mourir de faim... |
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