Titre : | La bio : entre business et projet de société | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Philippe Baqué, Directeur de publication, rédacteur en chef | Editeur : | Marseille : Agone | Année de publication : | 2012 | Collection : | Contre-Feux | Importance : | 1 vol. (428 p.) | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7489-0170-2 | Résumé : | « Des paysans qui vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap. De l’autre côté, une enseigne de la grande distribution qui propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, au bilan carbone catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat. Plutôt qu’une démarche globale, indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs soucieux de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements d’une société fondée sur le “mal-avoir” ? »
Cet ouvrage est l’aboutissement du travail collectif de journalistes, sociologues, agronomes et paysans. Certains ont mené des enquêtes de terrain en Amérique, en Afrique, au Proche-Orient et en Europe, d’autres se sont inspirés de leurs propres expériences. Ils nourrissent la critique du « bio-business » mais montrent surtout comment des paysans mettent en pratique les principes fondamentaux de l’agriculture bio et proposent des alternatives à un modèle de société dominant et destructeur. |
La bio : entre business et projet de société [texte imprimé] / Philippe Baqué, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Marseille : Agone, 2012 . - 1 vol. (428 p.) ; 23 cm. - ( Contre-Feux) . ISBN : 978-2-7489-0170-2 Résumé : | « Des paysans qui vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap. De l’autre côté, une enseigne de la grande distribution qui propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, au bilan carbone catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat. Plutôt qu’une démarche globale, indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs soucieux de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements d’une société fondée sur le “mal-avoir” ? »
Cet ouvrage est l’aboutissement du travail collectif de journalistes, sociologues, agronomes et paysans. Certains ont mené des enquêtes de terrain en Amérique, en Afrique, au Proche-Orient et en Europe, d’autres se sont inspirés de leurs propres expériences. Ils nourrissent la critique du « bio-business » mais montrent surtout comment des paysans mettent en pratique les principes fondamentaux de l’agriculture bio et proposent des alternatives à un modèle de société dominant et destructeur. |
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