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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesL'hypothèse communiste / Alain Badiou
Titre : L'hypothèse communiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Badiou, Auteur Editeur : [Paris] : Nouvelles éd. Lignes Année de publication : impr. 2009 Collection : Circonstances num. 5 Importance : 1 vol. (205 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-025-4 Prix : 15 EUR Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français Index. décimale : 320.532 01 Résumé : Dans son livre, De quoi Sarkozy est-il le nom ?, Alain Badiou proposait de nommer «hypothèse communiste» ce qui,depuis la Révolution française, a animé les politiques révolutionnaires, ou politiques d'émancipation. Le jugement que l'histoire officielle tente d'imposer est que toutes les tentatives de réalisation de cette hypothèse s'étant soldées par de tragiques échecs, l'hypothèse elle-même serait invalidée par l'Histoire.
Le présent volume veut envisager directement la fameuse preuve historique de cet «échec», à travers trois exemples fondamentaux qui le caractérisent - la Commune de Paris, la Révolution culturelle et Mai 68. Il pose que, pas plus en matière de politique qu'en matière de science, l'échec local d'une tentative n'autorise à éluder le problème dont elle proposait une solution; que de nouvelles solutions doivent être aujourd'hui imaginées pour résoudre les problèmes sur lesquels cette expérimentation a buté. C'est ce que fait le dernier texte de ce livre, prononcé à Londres, en mars 2009, lors d'un important colloque précisément intitulé «L'Idée de communisme».
«Le capitalisme et sa "démocratie" de surface, c'est ce qui est vieux, c'est ce qui est condamné, c'est le renoncement à penser, le renoncement à agir selon les principes d'une pensée. C'est l'hypothèse communiste, quel que soit le nom qu'on lui donne (émancipation, égalité...), qui est nouvelle et légitime.»L'hypothèse communiste [texte imprimé] / Alain Badiou, Auteur . - [Paris] : Nouvelles éd. Lignes, impr. 2009 . - 1 vol. (205 p.) ; 18 cm. - (Circonstances; 5) .
ISBN : 978-2-35526-025-4 : 15 EUR
Notes bibliogr.
Langues : Français
Index. décimale : 320.532 01 Résumé : Dans son livre, De quoi Sarkozy est-il le nom ?, Alain Badiou proposait de nommer «hypothèse communiste» ce qui,depuis la Révolution française, a animé les politiques révolutionnaires, ou politiques d'émancipation. Le jugement que l'histoire officielle tente d'imposer est que toutes les tentatives de réalisation de cette hypothèse s'étant soldées par de tragiques échecs, l'hypothèse elle-même serait invalidée par l'Histoire.
Le présent volume veut envisager directement la fameuse preuve historique de cet «échec», à travers trois exemples fondamentaux qui le caractérisent - la Commune de Paris, la Révolution culturelle et Mai 68. Il pose que, pas plus en matière de politique qu'en matière de science, l'échec local d'une tentative n'autorise à éluder le problème dont elle proposait une solution; que de nouvelles solutions doivent être aujourd'hui imaginées pour résoudre les problèmes sur lesquels cette expérimentation a buté. C'est ce que fait le dernier texte de ce livre, prononcé à Londres, en mars 2009, lors d'un important colloque précisément intitulé «L'Idée de communisme».
«Le capitalisme et sa "démocratie" de surface, c'est ce qui est vieux, c'est ce qui est condamné, c'est le renoncement à penser, le renoncement à agir selon les principes d'une pensée. C'est l'hypothèse communiste, quel que soit le nom qu'on lui donne (émancipation, égalité...), qui est nouvelle et légitime.»Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2334 Livre Philosophie Mille Bâbords Document en bon état Disponible De quoi Sarkozy est-il le nom? / Alain Badiou
Titre : De quoi Sarkozy est-il le nom? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Badiou Editeur : [Paris] : Nouvelles éd. Lignes Année de publication : 2007 Collection : Circonstances Importance : 154 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-003-2 Prix : 14 euros Langues : Français Catégories : Sciences humaines Mots-clés : Badiou Sarkozy Note de contenu : Les détracteurs du « gouvernement Sarkozy » devront s’y résoudre : ce n’est pas plus dans l’examen de la personnalité de son « chef » que dans le compte des ralliements qu’il suscite qu’ils trouveront le moyen d’en précipiter la chute.
Le philosophe Alain Badiou pose que, face à la brutalité (historiquement inscrite et idéologiquement fondée) des lois actuelles, la gauche ne peut qu’assumer à son tour l’héritage de ses valeurs essentielles, celles que le gouvernement et ses amis se plaisent à désigner comme obsolètes, irresponsables, ou même dangereuses. Ce n’est qu’ainsi qu’une véritable politique d’émancipation pourra à nouveau émerger.
« Entre nous, ce n’est pas parce qu’un président est élu que, pour des gens d’expérience comme nous, il se passe quelque chose. » C’est dans ces termes – souverains – qu’Alain Badiou commente, auprès de son auditoire de l’École normale supérieure, les résultats d’une élection qui désorientent passablement celui-ci, s’ils ne le découragent pas.
Autrement dit, une élection même présidentielle n’est plus en mesure de faire que quelque chose se passe – de constituer un événement (tout au plus une « circonstance », selon la qualification donnée par cette série de livres) ; Badiou reste ferme quant au soupçon qu’il y a lieu de porter sur l’opération démocratique du suffrage électoral (Voir Circonstances 1). Mais, clairement, il tient à dire ceci aussi : même l’élection de Sarkozy au poste de président de la République, pour inquiétante ou décourageante qu’elle soit, n’est pas de taille à permettre qu’on dise que quelque chose s’est passé, a fortiori qu’un événement est survenu. « Oui, continue-t-il, je pense que Sarkozy à lui seul ne saurait vous déprimer. Donc, ce qui vous déprime, c’est ce dont Sarkozy est le nom. Voilà de quoi nous retenir : la venue de ce dont Sarkozy est le nom, vous la ressentez comme un coup que cette chose vous porte, la chose probablement immonde dont le petit Sarkozy est le serviteur. »
De quoi Sarkozy est-il le nom ? De quoi tire-t-il son nom ? C’est la question que pose ce livre et à laquelle il répond longuement. Resituant celle-ci dans le courant récent et actuel de la politique européenne et mondiale – un courant puissamment « réactif » comme le dit Badiou. Mais resituant également celle-ci dans une plus vaste périodisation historique, dont le fil conducteur est constitué par les avatars de ce qu’il appelle « l’hypothèse communiste ». Cette hypothèse ne peut-elle plus être faite ? Autrement dit, la faillite éclatante des divers régimes qui s’en sont recommandés (recommandation trompeuse à l’excès) est-elle de nature à faire qu’on ne puisse plus aucunement former le dessein d’une autre forme politique possible pour la démocratie ? Non, répond ici Alain Badiou une nouvelle fois : non seulement elle peut être faite, mais elle le doit.
De quoi Sarkozy est-il le nom ? est sans aucun doute le livre le plus nécessaire qui soit par ce temps, un livre qu’approuveront en grande partie même ceux qui ne l’approuveront pas en totalité. Signe d’une richesse rare dont seuls les grands livres d’intervention sont capables.De quoi Sarkozy est-il le nom? [texte imprimé] / Alain Badiou . - [Paris] : Nouvelles éd. Lignes, 2007 . - 154 pages. - (Circonstances) .
ISBN : 978-2-35526-003-2 : 14 euros
Langues : Français
Catégories : Sciences humaines Mots-clés : Badiou Sarkozy Note de contenu : Les détracteurs du « gouvernement Sarkozy » devront s’y résoudre : ce n’est pas plus dans l’examen de la personnalité de son « chef » que dans le compte des ralliements qu’il suscite qu’ils trouveront le moyen d’en précipiter la chute.
Le philosophe Alain Badiou pose que, face à la brutalité (historiquement inscrite et idéologiquement fondée) des lois actuelles, la gauche ne peut qu’assumer à son tour l’héritage de ses valeurs essentielles, celles que le gouvernement et ses amis se plaisent à désigner comme obsolètes, irresponsables, ou même dangereuses. Ce n’est qu’ainsi qu’une véritable politique d’émancipation pourra à nouveau émerger.
« Entre nous, ce n’est pas parce qu’un président est élu que, pour des gens d’expérience comme nous, il se passe quelque chose. » C’est dans ces termes – souverains – qu’Alain Badiou commente, auprès de son auditoire de l’École normale supérieure, les résultats d’une élection qui désorientent passablement celui-ci, s’ils ne le découragent pas.
Autrement dit, une élection même présidentielle n’est plus en mesure de faire que quelque chose se passe – de constituer un événement (tout au plus une « circonstance », selon la qualification donnée par cette série de livres) ; Badiou reste ferme quant au soupçon qu’il y a lieu de porter sur l’opération démocratique du suffrage électoral (Voir Circonstances 1). Mais, clairement, il tient à dire ceci aussi : même l’élection de Sarkozy au poste de président de la République, pour inquiétante ou décourageante qu’elle soit, n’est pas de taille à permettre qu’on dise que quelque chose s’est passé, a fortiori qu’un événement est survenu. « Oui, continue-t-il, je pense que Sarkozy à lui seul ne saurait vous déprimer. Donc, ce qui vous déprime, c’est ce dont Sarkozy est le nom. Voilà de quoi nous retenir : la venue de ce dont Sarkozy est le nom, vous la ressentez comme un coup que cette chose vous porte, la chose probablement immonde dont le petit Sarkozy est le serviteur. »
De quoi Sarkozy est-il le nom ? De quoi tire-t-il son nom ? C’est la question que pose ce livre et à laquelle il répond longuement. Resituant celle-ci dans le courant récent et actuel de la politique européenne et mondiale – un courant puissamment « réactif » comme le dit Badiou. Mais resituant également celle-ci dans une plus vaste périodisation historique, dont le fil conducteur est constitué par les avatars de ce qu’il appelle « l’hypothèse communiste ». Cette hypothèse ne peut-elle plus être faite ? Autrement dit, la faillite éclatante des divers régimes qui s’en sont recommandés (recommandation trompeuse à l’excès) est-elle de nature à faire qu’on ne puisse plus aucunement former le dessein d’une autre forme politique possible pour la démocratie ? Non, répond ici Alain Badiou une nouvelle fois : non seulement elle peut être faite, mais elle le doit.
De quoi Sarkozy est-il le nom ? est sans aucun doute le livre le plus nécessaire qui soit par ce temps, un livre qu’approuveront en grande partie même ceux qui ne l’approuveront pas en totalité. Signe d’une richesse rare dont seuls les grands livres d’intervention sont capables.Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 4179 Livre Philosophie Mille Bâbords Document en bon état Disponible Tous Coupat tous coupables / Alain BROSSAT
Titre : Tous Coupat tous coupables Titre original : Le moralisme antiviolence Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain BROSSAT, Auteur Editeur : [Paris] : Nouvelles éd. Lignes Année de publication : 2009 Importance : 113 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35526-039-1 Langues : Français Résumé : Le 11 novembre 2008, des policiers encagoulés accompagnés de caméras de télévision investissaient une ferme de Tarnac (Corrèze) et plaçaient en détention huit militants dits « anarcho-autonomes ».
Julien Coupat, que les services du ministère de l'Intérieur considéraient comme le « chef » de ce groupe « à vocation terroriste » et l'auteur présumé d'un livre, L'Insurrection qui vient, devenu depuis un important succès de librairie, sera le dernier d'entre eux à être libéré, en mai 2009, après six mois passés en prison et sans qu'aucun élément tangible ne soit venu étayer sa culpabilité. Alain Brossat propose ici son analyse « à chaud» des différentes réactions alors suscitées, dans la presse et dans les milieux intellectuels, par ce fait divers singulier.Il suggère que, plutôt que d'en appeler à l'innocence des « jeunes de Tarnac », l'on se rende par principe coupable avec eux d'un refus d'obéissance à l'ordre politique des prétendues démocraties de marché.Tous Coupat tous coupables = Le moralisme antiviolence [texte imprimé] / Alain BROSSAT, Auteur . - [Paris] : Nouvelles éd. Lignes, 2009 . - 113 p.
ISBN : 978-2-35526-039-1
Langues : Français
Résumé : Le 11 novembre 2008, des policiers encagoulés accompagnés de caméras de télévision investissaient une ferme de Tarnac (Corrèze) et plaçaient en détention huit militants dits « anarcho-autonomes ».
Julien Coupat, que les services du ministère de l'Intérieur considéraient comme le « chef » de ce groupe « à vocation terroriste » et l'auteur présumé d'un livre, L'Insurrection qui vient, devenu depuis un important succès de librairie, sera le dernier d'entre eux à être libéré, en mai 2009, après six mois passés en prison et sans qu'aucun élément tangible ne soit venu étayer sa culpabilité. Alain Brossat propose ici son analyse « à chaud» des différentes réactions alors suscitées, dans la presse et dans les milieux intellectuels, par ce fait divers singulier.Il suggère que, plutôt que d'en appeler à l'innocence des « jeunes de Tarnac », l'on se rende par principe coupable avec eux d'un refus d'obéissance à l'ordre politique des prétendues démocraties de marché.Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 4309 Livre Question sociale Mille Bâbords Document en bon état Disponible