Titre : | Journal de bord d'un négrier | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Pierre Plasse, Auteur ; Bernard Plasse (1934-....), Editeur scientifique ; Olivier Pétré-Grenouilleau, Préfacier, etc. | Editeur : | Marseille : le Mot et le reste | Année de publication : | 2005 | Collection : | Collection Documents, ISSN 1777-3970 | Importance : | 1 vol. (147 p.) | Présentation : | ill., couv. ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-915378-12-2 | Prix : | 15 EUR | Langues : | Français | Index. décimale : | 381.440 92 | Résumé : | Ce journal de bord a été écrit en 1762 par Jean Pierre Plasse, tombé dans l’oubli depuis bien longtemps. Il a fallu la ténacité d’un de ses descendants, Bernard Plasse, pour que le manuscrit, déposé au Musée de la Marine de Marseille devienne un ouvrage enfin accessible au public.
C’est un récit par lequel nous pouvons entrer directement dans des modes d’appréhensions du réel, presque dans l’intimité d’un négrier... Car s’il est bon de savoir une chose, il est toujours intéressant de se la représenter avec les yeux des contemporains. Sans cela il n’est pas, il ne peut pas être de vraie histoire. |
Journal de bord d'un négrier [texte imprimé] / Jean-Pierre Plasse, Auteur ; Bernard Plasse (1934-....), Editeur scientifique ; Olivier Pétré-Grenouilleau, Préfacier, etc. . - Marseille : le Mot et le reste, 2005 . - 1 vol. (147 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - ( Collection Documents, ISSN 1777-3970) . ISBN : 978-2-915378-12-2 : 15 EUR Langues : Français Index. décimale : | 381.440 92 | Résumé : | Ce journal de bord a été écrit en 1762 par Jean Pierre Plasse, tombé dans l’oubli depuis bien longtemps. Il a fallu la ténacité d’un de ses descendants, Bernard Plasse, pour que le manuscrit, déposé au Musée de la Marine de Marseille devienne un ouvrage enfin accessible au public.
C’est un récit par lequel nous pouvons entrer directement dans des modes d’appréhensions du réel, presque dans l’intimité d’un négrier... Car s’il est bon de savoir une chose, il est toujours intéressant de se la représenter avec les yeux des contemporains. Sans cela il n’est pas, il ne peut pas être de vraie histoire. |
|