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Auteur Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris)
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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesLes frontières assassines de l'Europe / Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris)
Titre : Les frontières assassines de l'Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris) Importance : 104p Résumé : Né en 2002, le réseau Migreurop rassemble des militants et plus de quarante associations dans treize pays au nord et au sud de la Méditerranée. Son objectif est de rassembler des informations pour faire connaître et dénoncer les conséquences des politiques migratoires de l’Union européenne en termes de violation des droits humains, notamment dans les lieux d’enfermement. La carte des camps d’étrangers en Europe et dans les pays méditerranéens de Migreurop, régulièrement actualisée, constitue une référence dans ce domaine.
Depuis 2008, les travaux du réseau Migreurop ont notamment pris la forme d’un Observatoire des frontières qui s’appuie sur plusieurs outils : outre la diffusion d’informations sur les violations des droits humains aux frontières via sa liste électronique et son site internet, Migreurop a lancé une campagne pour un Droit de regard dans les lieux d’enfermement des migrants, et mis en place un groupe de travail sur les conséquences des accords de réadmission conclus entre l’Union européenne et ses voisins. En septembre 2009, Migreurop a publié l’Atlas des migrants en Europe, qui se veut une géographie critique des contrôles aux frontières.
C’est dans le cadre de l’Observatoire des frontières que Migreurop rend public le présent rapport sur les violations des droits humains aux frontières, Frontières assassines. Pour cette première édition, Migreurop a choisi de retenir quatre pôles emblématiques des méfaits de la politique menée par l’Union européenne : la frontière gréco-turque, la région du Calaisis, au nord-ouest de la France, celle d’Oujda, à l’est du Maroc, et l’île
de Lampedusa à l’extrême-sud de l’Italie. Autant de haltes, plus ou moins longues, trop souvent tragiques, dans l’odyssée des milliers de personnes qui, chaque année, en tentant de rejoindre l’Europe, cherchent par l’exil choisi ou contraint à fuir des persécutions, ou tout simplement à échapper au sort qui leur est échu.
Octobre 2009
Les frontières assassines de l'Europe [texte imprimé] / Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris) . - [s.d.] . - 104p.
Résumé : Né en 2002, le réseau Migreurop rassemble des militants et plus de quarante associations dans treize pays au nord et au sud de la Méditerranée. Son objectif est de rassembler des informations pour faire connaître et dénoncer les conséquences des politiques migratoires de l’Union européenne en termes de violation des droits humains, notamment dans les lieux d’enfermement. La carte des camps d’étrangers en Europe et dans les pays méditerranéens de Migreurop, régulièrement actualisée, constitue une référence dans ce domaine.
Depuis 2008, les travaux du réseau Migreurop ont notamment pris la forme d’un Observatoire des frontières qui s’appuie sur plusieurs outils : outre la diffusion d’informations sur les violations des droits humains aux frontières via sa liste électronique et son site internet, Migreurop a lancé une campagne pour un Droit de regard dans les lieux d’enfermement des migrants, et mis en place un groupe de travail sur les conséquences des accords de réadmission conclus entre l’Union européenne et ses voisins. En septembre 2009, Migreurop a publié l’Atlas des migrants en Europe, qui se veut une géographie critique des contrôles aux frontières.
C’est dans le cadre de l’Observatoire des frontières que Migreurop rend public le présent rapport sur les violations des droits humains aux frontières, Frontières assassines. Pour cette première édition, Migreurop a choisi de retenir quatre pôles emblématiques des méfaits de la politique menée par l’Union européenne : la frontière gréco-turque, la région du Calaisis, au nord-ouest de la France, celle d’Oujda, à l’est du Maroc, et l’île
de Lampedusa à l’extrême-sud de l’Italie. Autant de haltes, plus ou moins longues, trop souvent tragiques, dans l’odyssée des milliers de personnes qui, chaque année, en tentant de rejoindre l’Europe, cherchent par l’exil choisi ou contraint à fuir des persécutions, ou tout simplement à échapper au sort qui leur est échu.
Octobre 2009
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Exemplaires
Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2114 Livre Immigration Mille Bâbords Document en bon état Disponible Aux frontières de l'Europe / Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris)
Titre : Aux frontières de l'Europe : Contrôles, enfermements, expulsions Type de document : texte imprimé Auteurs : Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris) Année de publication : 2010 Importance : 128p Résumé : Pour cette deuxième édition de son rapport annuel, le réseau Migreurop se consacre à un travail critique, mené à partir d’enquêtes sur l’externalisation des politiques migratoires mises en place par les pays de l’Union européenne élargie à 27 membres. Par « externalisation », dans le cadre d’une stratégie visant à contenir les migrants hors des frontières européennes, il faut entendre cette tendance à sous-traiter aux pays tiers la responsabilité d’empêcher par tout moyen les départs vers l’Europe et à leur faire accepter l’obligation de réadmettre chez eux toutes les personnes jugées indésirables. C’est désormais de plus en plus loin que s’exerce cette double injonction, moyennant compensations financières ou tractations diplomatiques, comme le montre l’étude sur le cas des pays sahélo-sahariens présentée ici.
L’externalisation continue aussi de peser fortement sur les pays de la zone frontalière, plus particulièrement mis dans une position de destinations de premier transit, alors que l’Union leur demande d’empêcher la progression des migrants, décrétés d’emblée « illégaux », sur son territoire : la Pologne, la Roumanie, plus anciennement la Grèce, mais aussi Ceuta, que la géographie a mises aux premières lignes de la guerre aux migrants, ont désormais la charge de traiter toutes les velléités de demander l’asile par le refus, l’enfermement ou la mise en attente indéfinie, comme le montre la photo de couverture.
C’est également au cœur même de l’Europe que, en vertu d’accords bilatéraux à la légalité douteuse ou du règlement dit « Dublin II », des exilés sont placés dans une marche sans fin vers nul lieu, comme par exemple le long des mers qui séparent l’Italie de la Grèce. La situation des migrants constamment pourchassés en France ou en Belgique, aux portes de l’Angleterre, n’est guère différente.
Ce cortège de détresses, d’errances, et trop souvent de décès conduit Migreurop à rappeler que le premier des objectifs est de faire respecter le droit reconnu par les traités internationaux, à quitter tout pays et à demander protection ailleurs, fût-ce en Europe.Aux frontières de l'Europe : Contrôles, enfermements, expulsions [texte imprimé] / Migreurope (contact@migreurope.org; 22ter rue Voltaire, Paris) . - 2010 . - 128p.
Résumé : Pour cette deuxième édition de son rapport annuel, le réseau Migreurop se consacre à un travail critique, mené à partir d’enquêtes sur l’externalisation des politiques migratoires mises en place par les pays de l’Union européenne élargie à 27 membres. Par « externalisation », dans le cadre d’une stratégie visant à contenir les migrants hors des frontières européennes, il faut entendre cette tendance à sous-traiter aux pays tiers la responsabilité d’empêcher par tout moyen les départs vers l’Europe et à leur faire accepter l’obligation de réadmettre chez eux toutes les personnes jugées indésirables. C’est désormais de plus en plus loin que s’exerce cette double injonction, moyennant compensations financières ou tractations diplomatiques, comme le montre l’étude sur le cas des pays sahélo-sahariens présentée ici.
L’externalisation continue aussi de peser fortement sur les pays de la zone frontalière, plus particulièrement mis dans une position de destinations de premier transit, alors que l’Union leur demande d’empêcher la progression des migrants, décrétés d’emblée « illégaux », sur son territoire : la Pologne, la Roumanie, plus anciennement la Grèce, mais aussi Ceuta, que la géographie a mises aux premières lignes de la guerre aux migrants, ont désormais la charge de traiter toutes les velléités de demander l’asile par le refus, l’enfermement ou la mise en attente indéfinie, comme le montre la photo de couverture.
C’est également au cœur même de l’Europe que, en vertu d’accords bilatéraux à la légalité douteuse ou du règlement dit « Dublin II », des exilés sont placés dans une marche sans fin vers nul lieu, comme par exemple le long des mers qui séparent l’Italie de la Grèce. La situation des migrants constamment pourchassés en France ou en Belgique, aux portes de l’Angleterre, n’est guère différente.
Ce cortège de détresses, d’errances, et trop souvent de décès conduit Migreurop à rappeler que le premier des objectifs est de faire respecter le droit reconnu par les traités internationaux, à quitter tout pays et à demander protection ailleurs, fût-ce en Europe.Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2115 Livre Immigration Mille Bâbords Document en bon état Disponible