Titre : | Marcher : & Une promenade en hiver | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Henry David Thoreau | Editeur : | Marseille : le Mot et le reste | Année de publication : | 2013 | Collection : | Attitudes, ISSN 1952-0077 | Importance : | 1 vol. (189 p.) | Résumé : | Deux textes de H.D. Thoreau : le premier est le texte d’une conférence. Nous retrouvons ici le ton du plaidoyer et de la lutte. Marcher pour affirmer sa liberté d’homme, marcher pour mieux s’ancrer dans l’espace, fuir les villes et les clôtures et faire sien le monde.
Le second est un texte littéraire, l’évocation nostalgique d’un paysage enneigé du Massachussets, où la poésie se mêle à des observations très fines, dignes d’un naturaliste, sur les changements de la nature en hiver. Thoreau nous y emmène en promenade, nous faisant partager son émoi face aux splendides paysages gelés, s’arrêtant sur un lac, une forêt, le flanc d’une montagne ou la cabane d’un forestier, chaussant les patins pour suivre les méandres d’une rivière qui n’est prise qu’en superficie car, toujours, le feu couve sous la glace. L’hiver, nous dit-il, n’est pas une saison morne et triste mais une vitrine de curiosités, un moment de vie plus intérieure.
Dans les deux cas, Thoreau décrit ce qui marque l’expérience américaine en contrepoint de l’Europe et de l’Orient : l’appel de l’Ouest, les grands espaces.
|
Marcher : & Une promenade en hiver [texte imprimé] / Henry David Thoreau . - Marseille : le Mot et le reste, 2013 . - 1 vol. (189 p.). - ( Attitudes, ISSN 1952-0077) . Résumé : | Deux textes de H.D. Thoreau : le premier est le texte d’une conférence. Nous retrouvons ici le ton du plaidoyer et de la lutte. Marcher pour affirmer sa liberté d’homme, marcher pour mieux s’ancrer dans l’espace, fuir les villes et les clôtures et faire sien le monde.
Le second est un texte littéraire, l’évocation nostalgique d’un paysage enneigé du Massachussets, où la poésie se mêle à des observations très fines, dignes d’un naturaliste, sur les changements de la nature en hiver. Thoreau nous y emmène en promenade, nous faisant partager son émoi face aux splendides paysages gelés, s’arrêtant sur un lac, une forêt, le flanc d’une montagne ou la cabane d’un forestier, chaussant les patins pour suivre les méandres d’une rivière qui n’est prise qu’en superficie car, toujours, le feu couve sous la glace. L’hiver, nous dit-il, n’est pas une saison morne et triste mais une vitrine de curiosités, un moment de vie plus intérieure.
Dans les deux cas, Thoreau décrit ce qui marque l’expérience américaine en contrepoint de l’Europe et de l’Orient : l’appel de l’Ouest, les grands espaces.
|
|