Titre : | La brutalité financière : grammaire de la crise | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christian Marazzi (1951-....), Auteur ; Anne Querrien (1945-....), Traducteur ; François Rosso (1962-....), Traducteur | Editeur : | Paris : Éd. de l'Éclat | Année de publication : | impr. 2013 | Autre Editeur : | Lausanne : Réalités sociales | Importance : | 1 vol. (157 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84162-296-2 | Prix : | 12 EUR | Note générale : | Glossaire | Langues : | Français Langues originales : Italien | Index. décimale : | 338.542 | Note de contenu : | La crise historique qui nous affecte n'est pas seulement économique, mais humaine en ce qu'elle vise directement la « vie nue » des hommes et des femmes qui travaillent sous l'hégémonie brutale du capital. Qu'on en attribue la cause aux prêts subprime, aux endettements ou aux outrances de l'économie financière qui auraient intoxiqué l'«économie réelle », il n'en reste pas moins que toutes les solutions ponctuelles adoptées jusqu'alors, qui ont mobilisé ce qu'il restait des organismes publics au chevet du secteur privé, n'ont fait qu'amplifier la crise ou la déplacer. |
La brutalité financière : grammaire de la crise [texte imprimé] / Christian Marazzi (1951-....), Auteur ; Anne Querrien (1945-....), Traducteur ; François Rosso (1962-....), Traducteur . - Paris : Éd. de l'Éclat : Lausanne : Réalités sociales, impr. 2013 . - 1 vol. (157 p.) ; 18 cm. ISBN : 978-2-84162-296-2 : 12 EUR Glossaire Langues : Français Langues originales : Italien Index. décimale : | 338.542 | Note de contenu : | La crise historique qui nous affecte n'est pas seulement économique, mais humaine en ce qu'elle vise directement la « vie nue » des hommes et des femmes qui travaillent sous l'hégémonie brutale du capital. Qu'on en attribue la cause aux prêts subprime, aux endettements ou aux outrances de l'économie financière qui auraient intoxiqué l'«économie réelle », il n'en reste pas moins que toutes les solutions ponctuelles adoptées jusqu'alors, qui ont mobilisé ce qu'il restait des organismes publics au chevet du secteur privé, n'ont fait qu'amplifier la crise ou la déplacer. |
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