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Éditeur La Fabrique
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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesFéminismes islamiques
Titre : Féminismes islamiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Zahra Ali, Editeur scientifique Editeur : Paris : La Fabrique Année de publication : impr. 2012 Importance : 1 vol. (229 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35872-036-6 Prix : 13 EUR Note générale : Recueil d'articles et d'entretiens
GlossaireLangues : Français Index. décimale : 305.420 91767 Résumé : Féminismes islamiques : un titre qui en fera sursauter beaucoup, y compris parmi celles et ceux qui se pensent à l’abri de tout préjugé. C’est que le stéréotype « islam = oppression de la femme » croise partout comme un sous-marin, tantôt en surface et pavillon haut, tantôt dans les profondeurs de l’inconscient.
Ce que montre ce livre, le plus souvent on ne le sait pas : que dans les pays où l’islam est la religion dominante, des croyantes puissent lutter pour l’égalité, retourner les textes sacrés contre le patriarcat, s’élever contre les autorités politiques et religieuses qui bafouent les droits des femmes.
De l’Égypte à l’Iran, du Maroc à la Syrie, en France, aux États-Unis et jusqu’en Malaisie, des intellectuelles, des chercheuses et des militantes sont engagées dans une démarche féministe à l’intérieur du cadre religieux musulman. Zahra Ali nous fait entendre leurs voix et propose ainsi de décoloniser le féminisme hégémonique.Féminismes islamiques [texte imprimé] / Zahra Ali, Editeur scientifique . - Paris : La Fabrique, impr. 2012 . - 1 vol. (229 p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-35872-036-6 : 13 EUR
Recueil d'articles et d'entretiens
Glossaire
Langues : Français
Index. décimale : 305.420 91767 Résumé : Féminismes islamiques : un titre qui en fera sursauter beaucoup, y compris parmi celles et ceux qui se pensent à l’abri de tout préjugé. C’est que le stéréotype « islam = oppression de la femme » croise partout comme un sous-marin, tantôt en surface et pavillon haut, tantôt dans les profondeurs de l’inconscient.
Ce que montre ce livre, le plus souvent on ne le sait pas : que dans les pays où l’islam est la religion dominante, des croyantes puissent lutter pour l’égalité, retourner les textes sacrés contre le patriarcat, s’élever contre les autorités politiques et religieuses qui bafouent les droits des femmes.
De l’Égypte à l’Iran, du Maroc à la Syrie, en France, aux États-Unis et jusqu’en Malaisie, des intellectuelles, des chercheuses et des militantes sont engagées dans une démarche féministe à l’intérieur du cadre religieux musulman. Zahra Ali nous fait entendre leurs voix et propose ainsi de décoloniser le féminisme hégémonique.Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2711 Livre Féminisme Mille Bâbords Document en bon état Disponible Les féministes blanches et l'empire / Félix Boggio Éwanjé-Épée
Titre : Les féministes blanches et l'empire Type de document : texte imprimé Auteurs : Félix Boggio Éwanjé-Épée, Auteur ; Stella Magliani-Belkacem, Auteur Editeur : Paris : La Fabrique Année de publication : impr. 2012 Importance : 1 vol. (110 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35872-043-4 Prix : 12 EUR Résumé : Depuis la loi dite « sur le voile à l’école » de réelles fractures sont apparues entre les différentes composantes du mouvement féministe pour aboutir à des clivages profonds en termes de mots d’ordre, d’actions et de mobilisations. Dans le même temps, l’offensive raciste s’est affermie, greffant à sa rhétorique la question des « droits des femmes ». Il est de plus en plus courant d’analyser ce virage en terme d’« instrumentalisation du féminisme à des fins racistes ». Ce livre entend précisément interroger et discuter cet énoncé.
L’idée qu’un mouvement social, une politique d’émancipation, puissent être simplement utilisés, ou récupérés par l’ordre existant pour renforcer son discours rencontre bien des limites. Comment expliquer que la réaction ait pu soudainement se parer de vertus « féministes », elle qui a toujours été si hostile aux mouvements féministes, elle qui est si prompte à défendre le patriarcat ? Pour comprendre ce tournant, il faut envisager la chose non comme une simple « récupération » ou « instrumentalisation » mais plutôt comme une convergence d’intérêt, comme une affinité entre les objectifs, à court ou moyen terme, de larges franges du féminisme et du pouvoir raciste et impérialiste, à des moments historiques précis.
C’est dans cette perspective que les auteur-e-s de ce court essai entreprennent une généalogie des stratégies féministes : non pas une histoire détaillée, mais plutôt un coup de projecteur sur des situations historiques où la question raciale et/ou coloniale s’est trouvée au cœur du discours des féministes. Les suffragettes et « la mission civilisatrice », le féminisme de la deuxième vague et, plus près de nous, l’épisode de la loi sur le voile à l’école ou encore celui de la solidarité internationale, constituent ces « moments » dont l’étude met à jour les logiques qui ont conduit certaines féministes à promouvoir leurs objectifs aux dépens des colonisé-e-s et descendant-e-s de colonisé-e-s.
Le livre propose une discussion stratégique sur le féminisme et le racisme, un récit des occasions perdues et de certaines faiblesses héritées que les mouvements progressistes doivent comprendre et dépasser pour inventer des futurs émancipateurs.Les féministes blanches et l'empire [texte imprimé] / Félix Boggio Éwanjé-Épée, Auteur ; Stella Magliani-Belkacem, Auteur . - Paris : La Fabrique, impr. 2012 . - 1 vol. (110 p.) ; 17 cm.
ISBN : 978-2-35872-043-4 : 12 EUR
Résumé : Depuis la loi dite « sur le voile à l’école » de réelles fractures sont apparues entre les différentes composantes du mouvement féministe pour aboutir à des clivages profonds en termes de mots d’ordre, d’actions et de mobilisations. Dans le même temps, l’offensive raciste s’est affermie, greffant à sa rhétorique la question des « droits des femmes ». Il est de plus en plus courant d’analyser ce virage en terme d’« instrumentalisation du féminisme à des fins racistes ». Ce livre entend précisément interroger et discuter cet énoncé.
L’idée qu’un mouvement social, une politique d’émancipation, puissent être simplement utilisés, ou récupérés par l’ordre existant pour renforcer son discours rencontre bien des limites. Comment expliquer que la réaction ait pu soudainement se parer de vertus « féministes », elle qui a toujours été si hostile aux mouvements féministes, elle qui est si prompte à défendre le patriarcat ? Pour comprendre ce tournant, il faut envisager la chose non comme une simple « récupération » ou « instrumentalisation » mais plutôt comme une convergence d’intérêt, comme une affinité entre les objectifs, à court ou moyen terme, de larges franges du féminisme et du pouvoir raciste et impérialiste, à des moments historiques précis.
C’est dans cette perspective que les auteur-e-s de ce court essai entreprennent une généalogie des stratégies féministes : non pas une histoire détaillée, mais plutôt un coup de projecteur sur des situations historiques où la question raciale et/ou coloniale s’est trouvée au cœur du discours des féministes. Les suffragettes et « la mission civilisatrice », le féminisme de la deuxième vague et, plus près de nous, l’épisode de la loi sur le voile à l’école ou encore celui de la solidarité internationale, constituent ces « moments » dont l’étude met à jour les logiques qui ont conduit certaines féministes à promouvoir leurs objectifs aux dépens des colonisé-e-s et descendant-e-s de colonisé-e-s.
Le livre propose une discussion stratégique sur le féminisme et le racisme, un récit des occasions perdues et de certaines faiblesses héritées que les mouvements progressistes doivent comprendre et dépasser pour inventer des futurs émancipateurs.Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2712 Livre Féminisme Mille Bâbords Document en bon état Disponible L'insurrection qui vient / Comité invisible
Titre : L'insurrection qui vient Type de document : texte imprimé Auteurs : Comité invisible, Auteur Editeur : Paris : La Fabrique Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (125 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913372-62-7 Résumé : Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politique ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s'approfondir. Devant l'évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s'indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s'organisent. Le comité invisible est du côté de ceux qui s'organisent.
{source:www.decitre.fr]L'insurrection qui vient [texte imprimé] / Comité invisible, Auteur . - Paris : La Fabrique, 2007 . - 1 vol. (125 p.) ; 17 cm.
ISBN : 978-2-913372-62-7
Résumé : Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politique ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s'approfondir. Devant l'évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s'indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s'organisent. Le comité invisible est du côté de ceux qui s'organisent.
{source:www.decitre.fr]Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 2724 Livre Stratégie Mille Bâbords Absent Exclu du prêt 3919 Livre Stratégie Mille Bâbords Document en bon état Disponible 4398 Livre Stratégie Mille Bâbords Braderie Exclu du prêt Exil et souveraineté / Amnon Raz-Krakotzkin
Titre : Exil et souveraineté : judaïsme, sionisme et pensée binationale Type de document : texte imprimé Auteurs : Amnon Raz-Krakotzkin (1958-....), Auteur ; Carlo Ginzburg (1939-....), Préfacier, etc. ; Catherine Neuve-Église, Traducteur Editeur : Paris : La Fabrique Année de publication : 2007 Importance : 1vol. (238 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913372-56-6 Langues : Français Langues originales : Hébreu Index. décimale : 322.109 5694 Résumé : Comment la conscience sioniste a choisi d'occulter les 2000 ans d'exil depuis la destruction du Second Temple, pour remplacer la figure malingre du juif diasporique par celle, vigoureuse et fière, du juif nouveau - l'Israélien ; comment a été créée, contre toute évidence historique, la notion de peuple juif et comment le sionisme voit le «retour» de ce peuple dans l'histoire ; pourquoi le sionisme laïque est en fait fondé sur des bases théologiques, messianiques ; comment le mythe de «la Shoah et la renaissance», nouvelle version du mythe de la rédemption, oppose lui aussi l'Etat d'Israël au juif exilique ; comment la catégorie du «retour» - au pays, aux origines, à une existence juive authentique - illustre elle aussi la négation de l'exil ; pourquoi la laïcité version israélienne est une forme de l'orientalisme selon Said : telles sont quelques unes des questions éclairées par ce livre, dont on peut dire, en paraphrasant Walter Benjamin, qu'il brosse à contresens le poil luisant de l'histoire.
De grandes figures de la pensée juive - Gershom Scholem, Hannah Arendt entre autres - sont convoquées pour introduire un thème central du livre : la pensée binationale. Pour Amnon Raz-Krakotzkin, il ne s'agit pas de proposer une solution politique plutôt qu'une autre, mais de montrer la voie pour en finir avec la pensée de la séparation. La position binationale va de pair avec la critique de la négation de l'exil. Elle propose une autre image de la culture juive, qui s'appuie précisément sur des sources exiliques. Elle indique les conditions d'une véritable laïcisation, c'est à dire la distinction entre l'identité juive nationale et un État enfin débarrassé de toute signification messianique. C'est une façon nouvelle d'envisager l'existence juive en Israël, qui n'oblige pas à nier l'histoire du pays ni à déposséder les Palestiniens. «La vision binationale est la seule conception porteuse d'avenir, qui prend en considération les opprimés dans une orientation égalitaire et dessine le contexte nécessaire pour échapper à la catastrophe.»Exil et souveraineté : judaïsme, sionisme et pensée binationale [texte imprimé] / Amnon Raz-Krakotzkin (1958-....), Auteur ; Carlo Ginzburg (1939-....), Préfacier, etc. ; Catherine Neuve-Église, Traducteur . - Paris : La Fabrique, 2007 . - 1vol. (238 p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-913372-56-6
Langues : Français Langues originales : Hébreu
Index. décimale : 322.109 5694 Résumé : Comment la conscience sioniste a choisi d'occulter les 2000 ans d'exil depuis la destruction du Second Temple, pour remplacer la figure malingre du juif diasporique par celle, vigoureuse et fière, du juif nouveau - l'Israélien ; comment a été créée, contre toute évidence historique, la notion de peuple juif et comment le sionisme voit le «retour» de ce peuple dans l'histoire ; pourquoi le sionisme laïque est en fait fondé sur des bases théologiques, messianiques ; comment le mythe de «la Shoah et la renaissance», nouvelle version du mythe de la rédemption, oppose lui aussi l'Etat d'Israël au juif exilique ; comment la catégorie du «retour» - au pays, aux origines, à une existence juive authentique - illustre elle aussi la négation de l'exil ; pourquoi la laïcité version israélienne est une forme de l'orientalisme selon Said : telles sont quelques unes des questions éclairées par ce livre, dont on peut dire, en paraphrasant Walter Benjamin, qu'il brosse à contresens le poil luisant de l'histoire.
De grandes figures de la pensée juive - Gershom Scholem, Hannah Arendt entre autres - sont convoquées pour introduire un thème central du livre : la pensée binationale. Pour Amnon Raz-Krakotzkin, il ne s'agit pas de proposer une solution politique plutôt qu'une autre, mais de montrer la voie pour en finir avec la pensée de la séparation. La position binationale va de pair avec la critique de la négation de l'exil. Elle propose une autre image de la culture juive, qui s'appuie précisément sur des sources exiliques. Elle indique les conditions d'une véritable laïcisation, c'est à dire la distinction entre l'identité juive nationale et un État enfin débarrassé de toute signification messianique. C'est une façon nouvelle d'envisager l'existence juive en Israël, qui n'oblige pas à nier l'histoire du pays ni à déposséder les Palestiniens. «La vision binationale est la seule conception porteuse d'avenir, qui prend en considération les opprimés dans une orientation égalitaire et dessine le contexte nécessaire pour échapper à la catastrophe.»Réservation
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Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 3049 Livre International Mille Bâbords Document en bon état Disponible La haine de la démocratie / Jacques Ranciere
Titre : La haine de la démocratie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Ranciere, Auteur Editeur : Paris : La Fabrique Année de publication : 2005 Importance : 1 vol. (106 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913372-48-1 Langues : Français Index. décimale : 321.801 Résumé : Nous vivons aujourd'hui dans des pays qui se baptisent « démocraties ». Le discours officiel chantait naguère les vertus de ce système, opposé à l'horreur totalitaire. Ce discours n'a plus cours aujourd'hui, même s'il arrive que des armées soient envoyées promouvoir la démocratie autour du monde. En France en particulier, un parti intellectuel auquel sa place dans les médias donne un pouvoir inconnu ailleurs n'en finit pas de dénoncer les méfaits de l'« individualisme démocratique » qui mine les bases de la vie civique en détruisant les valeurs collectives et les liens sociaux, et les ravages de l'« égalitarisme » qui mène droit vers un nouveau totalitarisme. D'autres découvrent dans la démocratie des penchants criminels, trouvant son origine dans la Terreur et son accomplissement dans l'extermination du peuple juif.
Ces critiques contradictoires mais convergentes ont une cause commune : le caractère profondément scandaleux du « pouvoir du peuple ». La démocratie, gouvernement de tous, est le principe qui délégitime toute forme de pouvoir fondée sur les « qualités » propres de ceux qui gouvernent. Fondée sur l'égalité de n'importe qui avec n'importe qui, la démocratie n'est ni une forme de gouvernement qui permet à une oligarchie politico-financière guidée par ses experts de régner au nom du peuple, ni cette forme de société que règle le pouvoir de la marchandise. Elle n'est portée par aucune nécessité historique et n'en porte aucune. La chose a de quoi susciter de la peur, donc de la haine, chez ceux qui sont habitués à exercer le magistère de la pensée. Dans ce livre, Jacques Rancière décrit les liens complexes entre démocratie, politique, république et représentation et aide à retrouver, derrière les tièdes amours d'hier et les déchaînements haineux d'aujourd'hui, la puissance toujours neuve et subversive de l'idée démocratique.La haine de la démocratie [texte imprimé] / Jacques Ranciere, Auteur . - Paris : La Fabrique, 2005 . - 1 vol. (106 p.) ; 20 cm.
ISBN : 978-2-913372-48-1
Langues : Français
Index. décimale : 321.801 Résumé : Nous vivons aujourd'hui dans des pays qui se baptisent « démocraties ». Le discours officiel chantait naguère les vertus de ce système, opposé à l'horreur totalitaire. Ce discours n'a plus cours aujourd'hui, même s'il arrive que des armées soient envoyées promouvoir la démocratie autour du monde. En France en particulier, un parti intellectuel auquel sa place dans les médias donne un pouvoir inconnu ailleurs n'en finit pas de dénoncer les méfaits de l'« individualisme démocratique » qui mine les bases de la vie civique en détruisant les valeurs collectives et les liens sociaux, et les ravages de l'« égalitarisme » qui mène droit vers un nouveau totalitarisme. D'autres découvrent dans la démocratie des penchants criminels, trouvant son origine dans la Terreur et son accomplissement dans l'extermination du peuple juif.
Ces critiques contradictoires mais convergentes ont une cause commune : le caractère profondément scandaleux du « pouvoir du peuple ». La démocratie, gouvernement de tous, est le principe qui délégitime toute forme de pouvoir fondée sur les « qualités » propres de ceux qui gouvernent. Fondée sur l'égalité de n'importe qui avec n'importe qui, la démocratie n'est ni une forme de gouvernement qui permet à une oligarchie politico-financière guidée par ses experts de régner au nom du peuple, ni cette forme de société que règle le pouvoir de la marchandise. Elle n'est portée par aucune nécessité historique et n'en porte aucune. La chose a de quoi susciter de la peur, donc de la haine, chez ceux qui sont habitués à exercer le magistère de la pensée. Dans ce livre, Jacques Rancière décrit les liens complexes entre démocratie, politique, république et représentation et aide à retrouver, derrière les tièdes amours d'hier et les déchaînements haineux d'aujourd'hui, la puissance toujours neuve et subversive de l'idée démocratique.Exemplaires
Code-barres Support Section Localisation Statut Disponibilité 3050 Livre Théorie Politique Mille Bâbords Absent Exclu du prêt Autonomie ! / Marcello Tarì
PermalinkPremières mesures révolutionnaires / Eric Hazan
PermalinkSur la question juive
PermalinkL'héritage de Sharon / Tanya Reinhart
PermalinkPour en finir avec la prison / Alain BROSSAT
PermalinkLa proclamation de la commune / Henri Lefebvre
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