Titre : | L'autre face du racisme | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Joao BERNARDO | Editeur : | Paris : Ni patrie ni frontières | Importance : | 178 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-38235-101-7 | Prix : | 12 euros | Langues : | Français Langues originales : Bresilien | Catégories : | Société
| Mots-clés : | Racisme anti-racisme brésil | Résumé : | Les idéologies identitaires de gauche reprennent les clichés et techniques des mouvements nationalistes, et constituent « l’autre face du racisme » pour João Bernardo. Cet essai est divisé en cinq parties :
« 1. Le Tolstoï des Zoulous : Le mouvement noir actuel entoure de murs les propriétés universelles de l’humanité.
« 2. Comment le ressentiment s’est substitué à l’histoire : Le ressentiment, qui présuppose une obsession, transforme les fantômes de l’esprit en signes.
« 3. Ce sont les racistes qui ont créé les races : Les racistes noirs d’aujourd’hui ne font qu’inverser les hiérarchies inventées hier par les racistes blancs.
« 4. Le mythe de l’eurocentrisme : Les progrès que la classe ouvrière et la gauche ont réussi à initier et à soutenir sont dénigrés comme étant “eurocentristes” par ceux qui cultivent les identités ?
« 5. Le racisme est-il inhérent au capitalisme ? Nous ne pourrons dépasser le capitalisme que si nous créons une société daltonienne. »
En annexe, nous reproduisons six textes consacrés aux mouvements des « Afrodescendants » au Brésil et qui convergent politiquement avec cet essai de João Bernardo |
L'autre face du racisme [texte imprimé] / Joao BERNARDO . - Paris : Ni patrie ni frontières, [s.d.] . - 178 pages. ISBN : 978-2-38235-101-7 : 12 euros Langues : Français Langues originales : Bresilien Catégories : | Société
| Mots-clés : | Racisme anti-racisme brésil | Résumé : | Les idéologies identitaires de gauche reprennent les clichés et techniques des mouvements nationalistes, et constituent « l’autre face du racisme » pour João Bernardo. Cet essai est divisé en cinq parties :
« 1. Le Tolstoï des Zoulous : Le mouvement noir actuel entoure de murs les propriétés universelles de l’humanité.
« 2. Comment le ressentiment s’est substitué à l’histoire : Le ressentiment, qui présuppose une obsession, transforme les fantômes de l’esprit en signes.
« 3. Ce sont les racistes qui ont créé les races : Les racistes noirs d’aujourd’hui ne font qu’inverser les hiérarchies inventées hier par les racistes blancs.
« 4. Le mythe de l’eurocentrisme : Les progrès que la classe ouvrière et la gauche ont réussi à initier et à soutenir sont dénigrés comme étant “eurocentristes” par ceux qui cultivent les identités ?
« 5. Le racisme est-il inhérent au capitalisme ? Nous ne pourrons dépasser le capitalisme que si nous créons une société daltonienne. »
En annexe, nous reproduisons six textes consacrés aux mouvements des « Afrodescendants » au Brésil et qui convergent politiquement avec cet essai de João Bernardo |
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