Titre : | Crises | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Léon de Mattis | Editeur : | Genève : Entremonde | Année de publication : | 2012 | Collection : | Collection la Rupture, ISSN 1662-3231 num. 11 | Importance : | 1 vol. (165 p.) | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-940426-21-8 | Résumé : | En octobre 2008, le système financier mondial a failli s’écrouler. Depuis, la crise financière s’est muée en une crise de la dette publique qui s’aggrave de semaines en semaines. Le fonctionnement de l’économie, à l’heure actuelle, repose la croyance en la capacité des États à maintenir la valeur de la valeur. Que cette croyance s’effondre et le système périt.
Crises saisit l’occasion de la crise pour poser une question que les économistes évitent toujours : pourquoi l’argent vaut-il quelque chose plutôt que rien ? Répondre à cette question c’est s’interroger sur les fondements de la valeur dans le capitalisme. À l’heure où beaucoup s’indignent de la situation actuelle en croyant naïvement que l’on pourrait revenir à l’économie « régulée » des lendemains de la seconde guerre mondiale, il faut rappeler que le rapport social capitaliste ne peut être combattu qu’en s’attaquant à sa racine.
Tant qu’il y aura de l’argent, il n’y en aura pas assez pour tout le monde. |
Crises [texte imprimé] / Léon de Mattis . - Genève : Entremonde, 2012 . - 1 vol. (165 p.). - ( Collection la Rupture, ISSN 1662-3231; 11) . ISBN : 978-2-940426-21-8 Résumé : | En octobre 2008, le système financier mondial a failli s’écrouler. Depuis, la crise financière s’est muée en une crise de la dette publique qui s’aggrave de semaines en semaines. Le fonctionnement de l’économie, à l’heure actuelle, repose la croyance en la capacité des États à maintenir la valeur de la valeur. Que cette croyance s’effondre et le système périt.
Crises saisit l’occasion de la crise pour poser une question que les économistes évitent toujours : pourquoi l’argent vaut-il quelque chose plutôt que rien ? Répondre à cette question c’est s’interroger sur les fondements de la valeur dans le capitalisme. À l’heure où beaucoup s’indignent de la situation actuelle en croyant naïvement que l’on pourrait revenir à l’économie « régulée » des lendemains de la seconde guerre mondiale, il faut rappeler que le rapport social capitaliste ne peut être combattu qu’en s’attaquant à sa racine.
Tant qu’il y aura de l’argent, il n’y en aura pas assez pour tout le monde. |
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